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Entre 2008 et 2014, le Portugal a traversé une crise financière importante. Pour pouvoir bénéficier des soutiens financiers des organismes mondiaux, le pays a dû accepter la mise en place d’une « cellule d’observateurs » : la Troïka. Des réformes profondes ont aussi été menées pour assainir l’économie (hausse des impôts, réforme des retraites, digitalisation de l’administration, blocage des investissements publics, privatisations…).

Malgré les défis liés à l’inflation, aggravés par la situation en Ukraine, celle-ci a depuis diminué, améliorant la stabilité économique. Les investisseurs étrangers, initialement hésitants en raison du conflit, ont progressivement regagné confiance. La Hongrie a su se relever des récessions grâce à des politiques gouvernementales stimulant le PIB via des aides financières et le maintien de l’emploi. Le pays affiche un taux de chômage inférieur à 4%, démontrant sa robustesse économique.

La Côte d’Ivoire connaît une stabilité politique et sociale notable depuis plusieurs années. Véritable puissance économique régionale, le pays contribue à plus d’1/3 du PIB de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine et plus de 40% de ses exportations. La Côte d’Ivoire représente une terre d’opportunités dans de nombreux secteurs : transformation agroalimentaire, énergie (pétrole, gaz, hydro-électricité), mines, bâtiment et travaux publics, tourisme, etc.

Devenue région administrative spéciale de la République populaire de Chine depuis le 1er juillet 1997, Hong Kong se caractérise par son libéralisme économique : faible imposition, libre-échange et intervention minimale du gouvernement. Très ouverte au commerce extérieur, Hong Kong est également une importante économie de services qui entretient des liens étroits avec la Chine continentale et le reste de la région Asie-Pacifique